Face aux défis de l’agriculture intensive, la préservation de la flore spontanée pourrait bien être une solution naturelle pour protéger les vergers. Une étude menée en Provence (France) par des chercheurs d’INRAE et de l’Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Écologie marine et continentale (IMBE) met en lumière le rôle clé de cette végétation dans le maintien de la biodiversité et la lutte contre les ravageurs du pommier.
Une alternative naturelle face à l’intensification agricole
L’intensification des pratiques agricoles a contribué à l’érosion de la biodiversité, mettant en péril des services …
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