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Quand le Maroc utilise le nucléaire pour se préserver de la fièvre aphteuse...
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Quand le Maroc utilise le nucléaire pour se préserver de la fièvre aphteuse…

Quand le Maroc utilise le nucléaire pour se préserver de la fièvre aphteuse…

Les autorités vétérinaires marocaines ont identifié une nouvelle souche du virus de la fièvre aphteuse (fièvre aphteuse), une maladie animale très contagieuse, en utilisant des technologies d’origine nucléaire.

L’utilisation de cette technologie a conduit à des campagnes de vaccination réussies au Maroc, selon l’Agence internationale de l’énergie atomique. Cela s’est réalisé avec le soutien de l’AIEA, en partenariat avec l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).

La fièvre aphteuse affecte les bovins et les ruminants, à la fois domestiques et sauvages. En effet, elle est très contagieuse et souvent mortelle pour l’animal, et il peut gravement affecter la sécurité alimentaire et l’économie. Il faut souligner que le Royaume compte 29 millions de têtes de bovins, ovins, caprins et chameaux, et le secteur de l’élevage contribue à environ 13% du PIB agricole.

En janvier 2019, le Maroc avait connu des flambées de fièvre aphteuse dans plusieurs provinces. En effet, les troupeaux avaient été rapidement infectés dans cinq localités. Pour chaque cas confirmé, tout le bétail dans un rayon de trois kilomètres a été abattu. De même, les autorités avait établi une zone de surveillance d’un rayon de dix kilomètres; bloquant les ventes d’animaux et de produits alimentaires d’origine animale, ce qui désavantageait les agriculteurs et éleveurs.

Pour contrôler rapidement la propagation de la maladie, le Laboratoire régional d’analyse et de recherche de Casablanca (LRARC) a utilisé des techniques d’origine nucléaire. Ces dernières ont pu fournir une analyse rapide et précise. Les techniques traditionnelles mettent plus de temps à identifier la maladie. Par ailleurs, ceci entraîne une augmentation du nombre d’animaux infectés et des coûts liés à l’épidémie.

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