« Il est évident que c’est l’une des premières conséquences de la sécheresse que nous continuons de vivre cette année encore et, notamment, des politiques de restriction d’eau pour certaines cultures » confie Rachid Benali, président de la Confédération marocaine de l’agriculture et du développement rural (COMADER) sur les Inspirations éco concernant la hausse des prix des pastèques.
La sécheresse et les restrictions d’eau pour certaines cultures ont entraîné une hausse significative des prix de la pastèque. Actuellement, le kilo de pastèque se vend à 7 DH, un prix élevé pour la saison. Les principales régions productrices, comme Zagora et Tata, sont durement touchées par la sécheresse, influençant fortement les prix sur le marché ; conséquence logique de la loi de l’offre et la demande.