Alors que l’agriculture intensive est de plus en plus décriée notamment en raison d’une sécheresse systémique, en Tunisie des voix plaident en faveur de l’agroécologie, une approche qui privilégie la durabilité et le respect de la nature.
Invité sur le sujet, un chercheur tunisien remet en question l’idée que l’agriculture intensive est la solution face à la sécheresse et la croissance des besoins alimentaires, soulignant que cette approche ignore les limites de la nature et menace notre avenir collectif.
Le chercheur propose des réformes audacieuses, comme l’interdiction stricte de l’irrigation destinée à l’exportation où à l’encouragement de la production de semences locales et à l’interdiction progressive des produits chimiques.
L’article complet ici : Priorité à l’autosuffisance alimentaire plutôt qu’à l’exportation