chaleur – AgriMaroc.ma https://www.agrimaroc.ma Agriculture Maroc Tue, 09 May 2023 08:50:28 +0000 fr-FR hourly 1 https://www.agrimaroc.ma/wp-content/uploads/cropped-AGRI-MAROC-FAV-Icon-08-1-32x32.png chaleur – AgriMaroc.ma https://www.agrimaroc.ma 32 32 Alerte températures : jusqu’à 43°C dans certaines régions https://www.agrimaroc.ma/temperatures-43c-regions-maroc/ https://www.agrimaroc.ma/temperatures-43c-regions-maroc/#respond Mon, 08 May 2023 13:05:30 +0000 https://www.agrimaroc.ma/?p=90015 Une vague de chaleur est annoncée pour les journées du lundi et du mardi à venir dans plusieurs provinces du Royaume. Selon la Direction générale de la météorologie (DGM), les températures pourraient atteindre jusqu’à 43°C dans certaines zones.

La DGM a émis une alerte de niveau de vigilance orange et a prévenu que les provinces de Taroudant, Guelmim, El Kelaa des Sraghna et Fquih Ben Salah connaîtront un temps chaud avec des températures allant de 38 à 42°C pour la journée de lundi.

Pour la journée de mardi, les températures seront encore plus élevées, variant entre 38 et 43°C dans plusieurs villes du Royaume, notamment Guelmim, Taroudant, Agadir-Ida-Ou-Tanane, Inzegane Aït Melloul, Chtouka Aït Baha, Tata, Assa-Zag, Smara, Tan-Tan, Tarfaya, Aousserd, Chichaoua, Youssoufia, Marrakech, Essaouira, Rhamna, El Kelaa des Sraghna, Fquih Ben Salah, Settat, Sidi Slimane et Sidi Kacem.

Rappelons qu’il s’agit de températures anormalement hautes pour la saison.

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La technologie nucléaire aide à développer des variétés de tomates résistantes à la chaleur https://www.agrimaroc.ma/nucleaire-tomates-chaleur/ https://www.agrimaroc.ma/nucleaire-tomates-chaleur/#respond Tue, 21 Jul 2020 16:03:22 +0000 https://www.agrimaroc.ma/?p=69392 La technologie nucléaire aide à développer des variétés de tomates résistantes à la chaleur à l’Ile Maurice.

Les tomates sont une culture difficile en ce qui concerne les conditions de température. En période de froid, elles tombent malades et se fanent et quand il fait chaud, elles arrêtent de lier les fruits. Sur l’île Maurice, dans l’océan Indien, une chaleur prolongée freine le développement du secteur de la culture de la tomate. Ceci a poussé le pays à se tourner vers la technologie nucléaire pour développer des tomates résistantes à la chaleur.

L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), en partenariat avec l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), a aidé le National Research Institute of Mauritius (FAREI) à développer de nouvelles variétés de tomates par irradiation. Ainsi, la distribution de nouvelles semences de tomates à haut rendement et tolérantes à la chaleur aux agriculteurs, a contribué à protéger une industrie nationale évaluée à 14 millions de dollars.

A Maurice, lorsque la température dépasse 30 degrés, le rendement de tomates baisse fortement, parfois jusqu’à 80%. Avec un soleil excessif et des températures élevées, les plantes se dessèchent et ne produisent plus de nouveaux fruits.

Lire aussi : Le Maroc augmente fortement ses exportations de tomates vers la Russie

«La hausse des températures peut causer un stress thermique aux cultures, affecter les rendements et donc constituer une menace sérieuse pour les revenus des agriculteurs et la sécurité alimentaire», a déclaré une sélectionneuse et généticienne à la Division mixte FAO/AIEA des technologies nucléaires.

«La technologie nucléaire est utilisée dans le monde entier pour créer de nouvelles variétés de cultures plus résistantes au changement climatique et répondant aux besoins d’une population croissante», a-t-elle indiqué.

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Campagne 2017-2018: Mais où sont les pluies ? https://www.agrimaroc.ma/campagne-2017-2018-pluies/ https://www.agrimaroc.ma/campagne-2017-2018-pluies/#respond Wed, 08 Nov 2017 00:01:45 +0000 http://www.agrimaroc.ma/?p=29237 Mais où sont les pluies, si attendues en ce début de campagne ?

Des pluies rares, des températures qui ont eu beaucoup de mal à descendre… Est-ce le résultat des changements climatiques ou  simplement une mauvaise année ? Quoi qu’il en soit, les conditions météorologiques sont inquiétantes pour l’agriculture.

Les conditions météorologiques sont inquiétantes et menacent le bon déroulement de la nouvelle campagne agricole. La persistance des chaleurs et la rareté des averses pèsent sur les estimations de rendements. Le ministère de l’Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural et des Eaux et Forêts a d’ailleurs prédit une campagne 2017-2018 « moyenne ».

Quelques averses timides ont humidifié certaines régions du Maroc ce weekend, entre autres celles du Nord. Mais ces pluies restent largement insuffisantes ce qui inquiète. Malheureusement, aucunes pluies ne sont attendues dans les jours prochains, la patiente sera donc la meilleure carte à jouer en ce début de campagne. En attendant, la majorité des exploitants ont commencé le travail du sol tout en espérant voir arriver des averses abondantes.

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2017 figurera dans le top 3 des années les plus chaudes ? https://www.agrimaroc.ma/2017-top-annees-chaudes/ https://www.agrimaroc.ma/2017-top-annees-chaudes/#respond Mon, 06 Nov 2017 15:13:00 +0000 http://www.agrimaroc.ma/?p=29193 2017 en passe de figurer au palmarès des trois années les plus chaudes

Selon un récent rapport, l’année 2017 est en passe de figurer au palmarès des trois années les plus chaudes !

Marquée par des phénomènes climatiques extrêmes, 2017 est en passe de figurer au palmarès des trois années les plus chaudes, selon un nouveau rapport de l’Organisation Météorologique Mondiale (OMM) publié lundi à Bonn, à l’occasion de l’ouverture de la 23e Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques (COP23).

Le rapport estime qu’il est fort probable que l’année 2017, qui a connu de nombreux phénomènes à fort impact parmi lesquels des ouragans et des inondations catastrophiques ainsi que des vagues de chaleur et des sécheresses particulièrement néfastes, se classe parmi les trois années les plus chaudes jamais constatées.

D’après la déclaration provisoire de l’OMM sur l’état du climat mondial, la température moyenne à la surface du globe pour les neuf premiers mois de l’année dépassait de quelque 1,1 °C celle de l’époque préindustrielle. Sous l’effet d’un puissant Niño, 2016 devrait conserver son statut d’année la plus chaude, 2015 et 2017 se disputant la deuxième et la troisième places, relève l’étude.

Dans ces conditions, l’OMM considère que les années 2013 à 2017 sont bien parties pour constituer la période de cinq ans la plus chaude jamais enregistrée.

« Les trois dernières années sont les plus chaudes qui aient jamais été enregistrées et s’inscrivent dans la tendance au réchauffement à long terme de la planète », a déclaré le Secrétaire général de l’OMM, Petteri Taalas, en présentation du rapport.

Le monde, a-t-il expliqué, a assisté à des conditions météorologiques exceptionnelles, avec notamment des pics de température à plus de 50 °C en Asie, des ouragans d’une intensité record dans les Caraïbes et dans l’Atlantique qui ont atteint l’Irlande, des inondations dévastatrices causées par la mousson et frappant des millions de personnes, ou encore une terrible sécheresse en Afrique de l’Est.

« Nombre de ces phénomènes – des études scientifiques approfondies en révéleront le chiffre exact – portent indiscutablement la marque du changement climatique causé par l’augmentation des concentrations de gaz à effet de serre engendrés par les activités humaines », a-t-il conclu.

Commentant les conclusions du rapport, la Secrétaire exécutive de la Convention-Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), Patricia Espinosa, a averti que « tout cela met en lumière les menaces croissantes qui pèsent sur les populations, l’économie des pays et même sur les mécanismes de la vie sur Terre, si notre action ne devait pas être à la hauteur des objectifs et des ambitions incarnés par l’Accord de Paris » qui tend à limiter le réchauffement de la température globale à 2°C d’ici à la fin du siècle.

Elle a insisté à cet égard que la conférence de Bonn « devra servir de tremplin à tous les pays et à tous les secteurs de la société, qui seront appelés à revoir à la hausse leurs ambitions pour le climat, à déminer l’avenir de la planète et à saisir toutes les occasions offertes par une conception originale et visionnaire du développement durable ».

Se fondant sur les renseignements communiqués par un large éventail d’organismes onusiens, la déclaration provisoire de l’OMM sur le climat, qui couvre les mois de janvier à septembre, fait état des conséquences du changement climatique pour la société, l’économie et l’environnement. Elle s’inscrit dans le cadre d’un projet, conçu à l’échelle du système des Nations Unies, visant à fournir aux décideurs des informations plus complètes, de nature à orienter les politiques, sur les interactions entre les thématiques du temps, de l’eau et du climat et les objectifs mondiaux fixés dans le cadre des Nations Unies.

Accroissement des concentrations de dioxyde de carbone, hausse du niveau de la mer et acidification des océans sont autant d’indicateurs du changement climatique qui continuent à inquiéter les climatologues, aux côtés d’autres signes non moins alarmants soulignés par l’étude : « l’étendue de la banquise de l’Arctique demeure inférieure à la normale tandis qu’en Antarctique, l’étendue de la banquise, qui était stable auparavant, affichait un minimum record ou quasi record ».

Plusieurs études montrent que les phénomènes extrêmes ont une incidence sur la sécurité alimentaire de millions d’êtres humains, en particulier parmi les plus vulnérables.

L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) estime que dans les pays en développement, 26 % des pertes et préjudices causés par les tempêtes, les inondations et les sécheresses d’échelle moyenne à grande concernaient l’agriculture, l’élevage, la pêche, l’aquaculture et la foresterie. De son côté, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) considère que l’impact des vagues de chaleur sur la santé, à l’échelle du globe, dépend non seulement de la tendance générale au réchauffement mais aussi de leur distribution entre les zones habitées.

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Un mois d’octobre 5 à 12°C plus chaud que d’habitude…. https://www.agrimaroc.ma/octobre-chaud/ https://www.agrimaroc.ma/octobre-chaud/#respond Wed, 18 Oct 2017 23:25:38 +0000 http://www.agrimaroc.ma/?p=28480 Les températures sont au-dessus des normales de saison de 5 à 12°C !

La première quinzaine d’octobre a enregistré des températures bien au-dessus des normales de saison. Kénitra a vécu son mois d’octobre le plus chaud depuis 1942 !

La semaine dernière, les températures enregistrées ont battu des records ! Selon la Direction de la Météorologie Nationale (DMN), il faisait 5 à 12°C (selon les provinces) de plus que la moyenne de saison.

Selon la DMN, le Maroc a atteint des chaleurs record pour un mois d’octobre. « Cette canicule a pour origine des vents du sud à sud-est qui a ont soufflé sur le Maroc depuis le début de la semaine. Ce flux du sud fait remonter des masses d’air chaudes et sèches en provenance du grand Sahara, notamment de la Mauritanie aux plaines intérieures et aux côtes du Maroc », explique Youabd, responsable communication de la DMN.

A Kénitra, le record de température du mois d’octobre avait été établi en 1942 avec 38,2°C, or jeudi dernier il faisait 39,9°C ! D’autres villes sont dans la même situation : il faisait 42,1°C à Laâyoune (contre un record de 41,8°C en octobre 2015), 37,5°C à Larache alors que le record, datant de 1971 était de36,8°C, et encore beaucoup d’autres !

A cause de cette vague de chaleur et de la pluviométrie incertaine, le lancement officiel de la campagne agricole 2017-2018 a été reporté.

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