barrages – AgriMaroc.ma https://www.agrimaroc.ma Agriculture Maroc Wed, 06 Mar 2024 08:54:55 +0000 fr-FR hourly 1 https://www.agrimaroc.ma/wp-content/uploads/cropped-AGRI-MAROC-FAV-Icon-08-1-32x32.png barrages – AgriMaroc.ma https://www.agrimaroc.ma 32 32 Loukkos : Les barrages enregistrent un taux de remplissage de 42,7% https://www.agrimaroc.ma/loukkos-les-barrages-enregistrent-un-taux-de-remplissage-de-427/ https://www.agrimaroc.ma/loukkos-les-barrages-enregistrent-un-taux-de-remplissage-de-427/#respond Wed, 06 Mar 2024 08:10:01 +0000 https://www.agrimaroc.ma/?p=95427 Le Conseil d’administration de l’Agence du bassin hydraulique du Loukkos (ABHL) s’est réuni mardi à Tanger pour examiner et approuver le budget et le plan d’action de l’Agence pour l’année 2024. La réunion, présidée par le ministre de l’Équipement et de l’eau, Nizar Baraka, a rassemblé des représentants de divers secteurs, dont le wali de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima, Younes Tazi, et le président du Conseil régional.

L’Agence a présenté les comptes de l’année 2022, évalué l’efficacité de ses actions passées, et fait le point sur l’état d’avancement de son programme pour l’année 2023. La principale préoccupation a été la gestion de la crise hydrique, exacerbée par le déficit pluviométrique de 35% au cours de l’année hydrologique 2022-2023.

Le ministre Baraka a ouvert la séance en soulignant l’importance cruciale de l’eau dans le développement économique et social du Maroc, soulignant les défis liés au changement climatique et à la diminution des précipitations. Il a alerté sur le déficit de remplissage des barrages du bassin du Loukkos, enregistrant un taux de 42,7% au 1er mars 2024, contre 59,4% à la même date l’année précédente.

Malgré cette situation critique, le ministre a souligné les mesures prises pour sécuriser l’approvisionnement en eau potable, y compris l’utilisation de camions citernes dans les zones rurales déficitaires et le renforcement du contrôle de la police de l’eau. Des projets structurants ont également été annoncés, tels que le transfert d’eau entre les barrages Oued Al Makhazine et Dar Khrofa, ainsi que l’étude de réalisation d’une station de dessalement de l’eau de mer.

La protection contre les inondations a également été abordée, avec des projets d’envergure lancés dans différentes régions, dont le programme d’urgence pour la protection de la ville de Tanger et le projet de protection de la commune de Gueznaya.

Le wali de la région a souligné l’importance de la réunion pour identifier les besoins en gestion de l’eau et trouver des solutions pragmatiques face à la pénurie. Il a exhorté toutes les parties à intensifier leurs efforts pour une gestion rationnelle des ressources en eau, mettant en avant l’importance d’une approche intégrée pour un développement durable.

Le Conseil a également approuvé dix conventions de partenariat visant à renforcer la protection contre les inondations, à réaliser des forages, à élaborer des atlas des zones à risque, et à promouvoir la réutilisation des eaux usées traitées.

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Une pluviométrie en recul de plus de 44% par rapport à l’année dernière https://www.agrimaroc.ma/pluviometrie-44-recul-annee-derniere/ https://www.agrimaroc.ma/pluviometrie-44-recul-annee-derniere/#respond Tue, 16 Jan 2024 09:09:41 +0000 https://www.agrimaroc.ma/?p=94577 La situation climatique qui prévaut au Maroc depuis six ans a atteint un nouveau sommet. Lors d’une séance des questions orales à la Chambre des représentants, le ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Mohamed Sadiki, a révélé des chiffres alarmants concernant la pluviométrie et les ressources hydriques du pays.

Selon M. Sadiki, le volume de pluviométrie au cours de la saison agricole actuelle a chuté de manière drastique, atteignant seulement 77 millimètres. Cette baisse représente un recul de 54% par rapport à la moyenne des 40 dernières années et de 44% par rapport à la même période de l’année précédente. Ces chiffres inquiétants soulignent la gravité de la situation qui sévit actuellement au Maroc.

Le ministre a également mis en lumière la diminution dramatique des ressources hydriques, actuellement évaluées à 600 millions de mètres cubes. Cette valeur représente une chute vertigineuse de 83% par rapport à la moyenne historique. M. Sadiki a souligné que le Maroc fait face à une rareté des pluies sans précédent, caractérisée par une série de six années sèches consécutives. Cette période a entraîné une baisse significative du niveau des ressources hydriques, des réservoirs et des nappes phréatiques.

L’impact de cette crise hydrique est particulièrement visible dans les barrages du pays. Les chiffres présentés par le ministre révèlent une diminution de la moyenne des ressources hydriques des barrages, passant de 18 milliards de mètres cubes pendant la période 1945-1980 à seulement 5 milliards de mètres cubes au cours des cinq dernières années. Cette baisse drastique met en lumière la vulnérabilité des infrastructures hydriques du pays face à cette situation critique.

Lire aussi : L’interconnexion des barrages Oued El Makhazin et Dar Khrofa lancée

En ce qui concerne les grands périmètres d’irrigation, M. Sadiki a informé que les surfaces agricoles ne dépassent actuellement pas 400 000 hectares sur un total de 750 000 hectares, soit une diminution de 44%. Cette réduction a des conséquences directes sur la dotation en eau allouée aux grands périmètres irrigués, menaçant ainsi la production agricole dans ces régions.

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L’interconnexion des barrages Oued El Makhazin et Dar Khrofa lancée https://www.agrimaroc.ma/interconnexion-des-barrages-oued-el-makhazin-et-dar-khrofa/ https://www.agrimaroc.ma/interconnexion-des-barrages-oued-el-makhazin-et-dar-khrofa/#respond Wed, 10 Jan 2024 10:05:53 +0000 https://www.agrimaroc.ma/?p=94518 L’interconnexion des barrages Oued El Makhazin et Dar Khrofa, une des solutions face au stress hydrique.

Face à la montée inquiétante du stress hydrique dans le Royaume, le gouvernement marocain a décidé d’accélérer le processus de réalisation de l’interconnexion entre deux barrages majeurs, Oued El Makhazin et Dar Khrofa, situés dans le nord du pays. Cette initiative, dirigée par l’Office régional de mise en valeur agricole du Loukkos (ORMVAL), vise à assurer un approvisionnement en eau adéquat dans la région, en particulier pour le Grand Tanger.

Le projet d’interconnexion a franchi une étape cruciale avec le récent lancement de l’appel d’offres pour les travaux d’aménagement de cette « autoroute de l’eau ». Cependant, la complexité de l’entreprise nécessite une expertise technique approfondie. À cet effet, l’ORMVAL a également initié un appel d’offres pour le recrutement d’une assistance technique et de maîtrise d’œuvre nous apprend LeMatin. Ces acteurs joueront un rôle clé dans le suivi et le contrôle des travaux sur ce projet de transfert d’eau sur une distance de 40 km.

L’interconnexion elle-même vise à transférer un volume massif de 100 millions de m³/an d’eau, avec un débit d’équipement de 3,2 m³/s. Cette initiative stratégique, destinée à approvisionner le Grand Tanger en eau potable, comprendra plusieurs composantes essentielles telles qu’une conduite de raccordement, une station de pompage, une conduite de refoulement en acier, une cheminée d’équilibre, et une conduite gravitaire sur une longueur d’environ 40 km. De plus, l’ensemble du projet sera complété par un ouvrage de restitution au niveau du barrage Dar Khrofa et une ligne aérienne de raccordement électrique avec des postes de départ et de transformation.

Lors d’un entretien avec LeMatin en octobre dernier, le ministre de l’Agriculture, Mohamed Sadiki, avait souligné l’importance du programme d’approvisionnement en eau potable et d’irrigation 2020-2027 dans le contexte de changement climatique. Il avait évoqué la nécessité de diversifier les ressources en eau, notamment en ayant recours au dessalement de l’eau de mer, à l’interconnexion des bassins hydrauliques, et à la réutilisation des ressources en eau épurées.

Le ministre a également souligné les défis majeurs auxquels le pays est confronté pour maintenir un équilibre hydrique entre les zones urbaines et les bassins agricoles. La compétition pour l’eau, accentuée par le changement climatique, nécessite une allocation plus équilibrée des ressources en période de pénurie exceptionnelle. Le développement de projets comme celui de l’interconnexion des barrages Oued El Makhazin et Dar Khrofa contribuera non seulement à la sécurité hydrique mais aussi au maintien de la population rurale et à la sécurité alimentaire du pays.

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Outre l’interconnexion des barrages, le gouvernement marocain s’engage dans d’autres initiatives cruciales, telles que le dessalement de l’eau de mer avec des projets emblématiques comme celui de Chtouka et de Dakhla. De plus, neuf projets d’irrigation par les eaux non conventionnelles sont en cours d’étude pour diversifier et sécuriser les zones de production sur une superficie considérable dans différentes régions du pays. Ces initiatives reflètent la volonté du Maroc de s’adapter aux défis de l’eau et de garantir un avenir durable pour ses citoyens.

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Le nettoyage des barrages pendant la sécheresse : une opportunité à ne pas manquer ? https://www.agrimaroc.ma/nettoyage-barrages-secheresse/ https://www.agrimaroc.ma/nettoyage-barrages-secheresse/#respond Thu, 22 Jun 2023 13:02:31 +0000 https://www.agrimaroc.ma/?p=91079 Le Maroc fait face à une sécheresse sans précédent qui a de graves répercussions sur son agriculture, son écosystème et son économie. Selon les experts, cette situation est en partie attribuée au changement climatique, se traduisant par une diminution des précipitations et une hausse des températures. 

La situation des barrages au Maroc est préoccupante. Avec une capacité de stockage de plus de 18 milliards de mètres cubes d’eau, le pays est l’un des mieux équipés en Afrique en termes de rétention hydrique. Toutefois, ces dernières années, la capacité de stockage des barrages a diminué en raison de l’accumulation de sédiments et de la baisse du niveau d’eau causée par la sécheresse.

Selon les données officielles, le taux de remplissage des barrages au Maroc est actuellement inférieur à 50 %, contre 70 % à la même période l’année précédente. Les barrages de Marrakech-Safi, l’une des régions les plus touchées par la sécheresse, ne sont remplis qu’à 16 % de leur capacité, bien que celle-ci s’élève à 1,5 milliard de mètres cubes précise Hespress.

La situation des barrages est d’autant plus préoccupante que le Maroc dépend largement des eaux de surface pour l’irrigation et la consommation humaine. Les eaux souterraines, en tant qu’alternative, sont souvent de qualité médiocre et leur surexploitation risque de réduire la disponibilité d’eau à long terme.

Mohamed Benata, écologiste marocain, ingénieur agronome, docteur en géographie et fervent défenseur de l’environnement, souligne à Hespress l’importance de saisir cette occasion pour nettoyer les barrages des boues accumulées pendant des années. Selon lui, cette opération pourrait être réalisée à moindre coût et plus facilement lorsque les barrages sont asséchés.

« Même lorsque les barrages sont à sec, nous n’avons pas su en tirer profit, à l’instar de la plupart des pays développés. La sécheresse est certes préjudiciable, mais elle constitue une occasion en or de nettoyer les barrages des boues à l’aide de bulldozers et de camions, un processus bien moins coûteux et plus facile que de les nettoyer lorsqu’ils sont remplis d’eau », confie Benata à la même source.

Ainsi, le nettoyage des barrages permettrait d’accroître leur capacité de stockage et d’améliorer la qualité de l’eau. Cela contribuerait également à atténuer les effets de la sécheresse à long terme en augmentant la quantité d’eau disponible pour l’irrigation et la consommation humaine.

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La pluie fait enfin son retour au Maroc https://www.agrimaroc.ma/la-pluie-fait-son-retour-au-maroc/ https://www.agrimaroc.ma/la-pluie-fait-son-retour-au-maroc/#respond Mon, 07 Mar 2022 09:34:54 +0000 https://www.agrimaroc.ma/?p=82761 L’ensemble du Maroc a bénéficié de pluies bien réparties.

Enfin une bonne nouvelle. La pluie a été de retour dans plusieurs régions du Royaume ce week-end du 5 et 6 mars, et a même été presque nationale selon la Direction générale de la météorologie (DGM).

La campagne agricole actuelle a été marquée par le manque de pluies. Traduction, les agriculteurs ont vraiment souffert de ce stress hydrique.

Des mesures gouvernementales ont même été prises afin d’endiguer le phénomène si bien que le phénomène a été considéré comme prioritaire pour le pays. La campagne agricole n’est pas sauvée, mais ces pluies salvatrices sont appréciables en ces temps difficiles.

Plusieurs régions ont connu des pluies intéressantes, parfois mêmes importantes dans certaines régions. En terme de localisations, les pluies sont tombées sur l’ensemble du pays, entre autres dans des bassins agricoles tels que Meknès, Settat, Beni Mellal, Ben Slimane, Midelt ou El Haouz.

Lire aussi : Draa Tafilalet : Lancement du programme exceptionnel pour réduire l’impact du déficit pluviométrique

Cette pluie pourrait être positive à moyen terme si elle persiste un peu et devrait permettre aux barrages d’améliorer leurs taux de remplissages ce qui ne peut être que bénéfique aux agriculteurs du pays.

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Mohammed Benabbou : « Le programme agricole assurera l’équilibre du monde rural » https://www.agrimaroc.ma/mohammed-benabbou-programme-agricole-equilibre-du-monde-rural/ https://www.agrimaroc.ma/mohammed-benabbou-programme-agricole-equilibre-du-monde-rural/#respond Fri, 18 Feb 2022 10:44:36 +0000 https://www.agrimaroc.ma/?p=82339 Le programme agricole exceptionnel “assurera le maintien de l’équilibre du monde rural” soutient l’expert Mohammed Benabbou.

Le programme exceptionnel visant à atténuer les effets du retard des précipitations assurera le maintien de l’équilibre du monde rural, a affirmé l’expert en Changements climatiques et ingénieur en Génie de l’environnement, Mohammed Benabbou indique la MAP dans un communiqué.

Mohammed Benabbou qui avait expliqué le 8 février dernier à nos confrères de le360 pourquoi le manque de pluie était si néfaste dernièrement aux agriculteurs, avait ensuite pointé du doigt à ce moment là l’anticyclone des Açores sur la côte atlantique comme une des explications.

Pour l’expert, le Maroc devait se préparer à souffrir d’un manque pluviométrique jusqu’à 2030, mais prenait les bonnes mesures pour lutter contre cette raréfaction hydrique, à travers les usines de dessalement d’eau de mer, ou la politique des barrages.

Avec le programme exceptionnel pour lutter contre la pluviométrie, l’optimisme est de mise.

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Bassin de Sebou : hausse du taux de remplissage des barrages https://www.agrimaroc.ma/bassin-sebou-taux-remplissage-barrages/ https://www.agrimaroc.ma/bassin-sebou-taux-remplissage-barrages/#respond Mon, 17 May 2021 23:01:59 +0000 https://www.agrimaroc.ma/?p=77830 Le taux de remplissage des barrages situés dans le bassin de Sebou sont en hausse.

Les dernières précipitations continuent d’avoir leur lot de bénéfices sur les réserves en eau des barrages situés au niveau du bassin hydraulique de Sebou. Celles-ci ont atteint 4,1 milliards de m3, dont plus de 2,6 milliards de m3 stockées au niveau du barrage Al Wahda.

Selon l’Agence du Bassin hydraulique de Sebou (ABHS), le taux de remplissage des barrages au niveau du bassin de Sebou s’élève à 74% à la date du 12 mai courant, contre 69% pour la même période de l’année dernière.

Dans le détail, le taux de remplissage des barrages relevant du bassin varie entre 50% au barrage El Kansera et 100% au niveau des barrages Bouhouda et Bab Louta, rapporte L’Economiste. Le taux de remplissage moyen des retenues de barrages du bassin dépasse la moyenne à l’échelle nationale qui est de 51%, ce qui est une aubaine pour l’agriculture et l’irrigation.

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Selon l’Agence, les pluies enregistrées seront « bénéfiques pour les différentes nappes d’eau souterraines du bassin, qui s’alimentent en eau soit par l’infiltration des eaux de pluie, soit par la fonte des neiges, notamment au niveau du Moyen Atlas ».

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Tanger-Tétouan-Al Hoceima : les barrages se remplissent de façon remarquable https://www.agrimaroc.ma/tanger-tetouan-al-hoceima-barrages-se-remplissent/ https://www.agrimaroc.ma/tanger-tetouan-al-hoceima-barrages-se-remplissent/#respond Fri, 07 May 2021 12:45:50 +0000 https://www.agrimaroc.ma/?p=77632 Les barrages de Tanger-Tétouan-Al Hoceima se remplissent de façon remarquable.

Les dernières précipitations continuent d’avoir leur lot de bénéfices sur les réserves des barrages situés dans la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima. En effet, les retenues de douze barrages sis dans la région ont, le 6 mai courant, atteint plus de 1,211 milliard m3, contre plus de 1,095 milliard m3 durant la même période de l’année précédente.

Selon la direction générale de l’Eau, relevant du ministère de l’Équipement, du transport, de la logistique et de l’eau, le taux de remplissage de 12 barrages situés dans la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima a atteint plus de 70,3%, au cours de la date considérée, contre les 61,90% enregistrés durant la même période de l’année dernière.

Au niveau de la zone de Loukkos, les retenues du barrage Oued El Makhazine (province de Larache), le plus grand barrage de la région, ont atteint 629 millions m3, soit un taux de remplissage de 93,5%, contre 659,1 millions m3 durant la même période une année auparavant, soit un taux de remplissage de 98%.

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Concernant les retenues du barrage Dar Khrofa, elles se sont élevées à 250,7 millions m3, soit un taux de remplissage de 52,2%, contre environ 160 millions m3 une année auparavant, indique la MAP.

A la préfecture de Tanger-Assilah, le barrage Ibn Battouta a atteint un taux de remplissage de 98,2% (28,6 millions m3), contre 46,3% (13,5 millions m3) en glissement annuel, tandis que le barrage 9 avril a affiché un taux de remplissage de 23,9% (71,6 millions m3), contre 25,8% (77,5 millions m3) il y a un an.

Le rapport révèle aussi que le barrage Tanger Méditerranée de la province de Fahs-Anjra a atteint un taux de remplissage de 90% (19,8 millions m3), tandis que ce taux a atteint, au niveau du barrage Nakhla (province de Tétouan), 100% (4,2 millions m3) et 99% pour le barrage Smir de la préfecture de M’diq-Fnideq (38,6 millions m3).

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Le taux de remplissage des barrages nationaux atteint 51,2% https://www.agrimaroc.ma/taux-de-remplissage-barrages-nationaux/ https://www.agrimaroc.ma/taux-de-remplissage-barrages-nationaux/#respond Wed, 05 May 2021 16:05:55 +0000 https://www.agrimaroc.ma/?p=77550 Le taux de remplissage des barrages au Maroc atteint plus de 51,2%.

Selon les données du ministère de l’Équipement, du transport, de la logistique et de l’eau, les retenues des principaux barrages nationaux ont atteint, à la date du 04 mai courant, plus de 8,25 milliards de m3, soit un taux de remplissage de 51,2%.

Ce niveau est supérieur à celui enregistré à la même date de l’année 2020, durant laquelle les retenues se sont élevées à près de 7,76 milliards de m3, soit un taux de remplissage de 49,8%, rapporte la MAP, en référence à la situation journalière des barrages établie par la Direction générale de l’eau.

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Le barrage Al-Wahda affiche la plus importante retenue avec un volume atteignant 2,619 milliards m3 et un taux de remplissage de 74,4%, contre 63,5% une année auparavant.

Le Barrage Idriss 1er vient en deuxième position avec une retenue de 892 millions m3, soit un taux de remplissage de 79%, contre 85,6% à la même date de l’année dernière (966,5 millions m3).

Avec un taux de remplissage de 93,5%, le barrage Oued El Makhazine est classé troisième grâce à une retenue se situant à 629 millions m3.

A noter que le cumul pluviométrique de ces derniers mois a contribué à l’amélioration du taux de remplissage des barrages et a eu un impact positif sur la croissance et le développement végétatif des cultures en place.

Avec MAP
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Souss-Massa : le taux de remplissage des barrages en hausse https://www.agrimaroc.ma/souss-massa-taux-de-remplissage-des-barrages/ https://www.agrimaroc.ma/souss-massa-taux-de-remplissage-des-barrages/#respond Wed, 05 May 2021 09:04:34 +0000 https://www.agrimaroc.ma/?p=77541 Le taux de remplissage des barrages de Souss-Massa est en hausse.

Selon la situation journalière des barrages établie par l’Agence du bassin hydraulique du Souss-Massa (ABHSM), les retenues des barrages situés dans la région ont atteint jusqu’au mardi, un total de 240,86 millions m3, soit un taux de remplissage de 32,97%.

Ce niveau est supérieur à celui enregistré à la même date de l’année 2020, durant laquelle les retenues se sont élevées à près de 139,45 millions m3, soit un taux de remplissage de 19,9%. Ce qui est une aubaine pour l’actuelle campagne agricole.

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Ainsi, le taux de remplissage du barrage Youssef Ben Tachfine a atteint 26,42% (78,723 millions m3), tandis que les réserves du barrage Aoulouz ont atteint 50, 539 millions m3, avec un taux de remplissage du barrage de 56,80 %, rapporte la MAP.

Les réserves au niveau du barrage Moulay Abdellah se sont élevées à 27,301 millions m3 (30,10%), alors qu’elles ont atteint 31,218 millions m3 (15,77%) pour le barrage Abdelmoumen à Tardoudant.

Le taux de remplissage du barrage Ahl Souss est de 96 %, (4,474millions m3) tandis que le barrage Mokhtar Soussi a atteint 100,20% (39,878 millions m3). Les réserves en eau du barrage Imi Lkheng ont atteint 8, 640 millions m3 (98,60%), tandis que le barrage Dkhila a enregistré 0,090 millions m3 (45%).

MAP
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