Accord Agricole Maroc-UE : La décision du Tribunal de Tarascon encourage l’investissement dans les Provinces du Sud (FIFEL)
Dans une décision qui résonne comme une victoire pour le Maroc, le Tribunal français de Tarascon a rejeté les tentatives de harcèlement judiciaire de l’Accord agricole Maroc-UE par la Confédération Paysanne. Cette décision est accueillie avec satisfaction par la Fédération Interprofessionnelle Marocaine des Producteurs et Exportateurs des Fruits et Légumes (FIFEL) et son président, Lahoucine Aderdour.
Lahoucine Aderdour a souligné que ce jugement infligé à l’organisation syndicale française, qui est proche des ennemis du Maroc, devrait encourager les investisseurs internationaux à investir davantage dans les Provinces du Sud. Il estime que cette décision judiciaire soutiendra ainsi la dynamique de développement déjà en cours dans cette région.
Dans une déclaration à la MAP, Lahoucine Aderdour a déclaré : « Ce jugement infligé à l’organisation syndicale française proche des ennemis du Maroc devrait encourager les investisseurs internationaux à investir davantage dans nos Provinces du Sud, et ainsi soutenir la dynamique de développement déjà en cours ».
Il s’est également réjoui de cette décision judiciaire qui renforce l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc. Il a félicité la société IDYL ainsi que tous les agriculteurs et exportateurs marocains, soulignant que le Tribunal de Tarascon a rendu justice à travers cette condamnation.
Cette décision du Tribunal français de Tarascon, qui fait suite à celle de la Cour d’Appel de Londres, renforcera les liens de coopération entre le Maroc et ses différents partenaires, notamment l’Union européenne. Elle contribuera également à dissiper les provocations et les hostilités de l’entité fantoche envers l’Accord Agricole Maroc-UE sur les fruits et légumes, a ajouté Lahoucine Aderdour.
Le mardi, le Tribunal de Tarascon a rendu un arrêt condamnant la Confédération Paysanne, qui cherchait à interdire à l’entreprise française IDYL, spécialisée dans la commercialisation de fruits et légumes en provenance du Maroc, y compris des Provinces du Sud, de distribuer ses produits.
Cette organisation syndicale française était instrumentalisée par le « polisario » et ses relais en France pour harceler l’Accord Agricole Maroc-UE par des moyens juridiques.