Le stress hydrique au Maroc inquiète certaines populations.
Ces dernières années la sécheresse a sensibilisé la population à la rareté de l’eau. La culture de la pastèque a notamment été souvent pointée du doigt et les autorités ont même contrôlé sa production pour limiter le stress hydrique.
Dans son édition du vendredi 11 novembre, le média Al Akhbar a indiqué que les habitants de Tata avaient été hostiles à la pastèque, notamment en raison de l’installation de nouveaux investisseurs dans la province.
Plusieurs terres dédiées à cette culture auraient même déjà été aménagées, augmentant la crainte des habitants qui ont déjà fort à faire avec une nappe phréatique asséchée. Leur étonnement vient du fait que cette culture, réputée hydrivore, n’ait pas été limitée pour faire face à la sécheresse de ces derniers mois, bien que la situation globale ne s’améliore pas et risque même de s’accentuer les prochaines années.