Une nouvelle perturbation atmosphérique se profile à l’horizon, apportant avec elle son lot de conditions météorologiques instables sur le territoire. Selon les prévisions de la Direction Générale de la Météorologie (DGM), les prochains jours s’annoncent marqués par des averses orageuses, des chutes de neige et des températures en baisse.
Dès ce lundi, les habitants des régions Atlantiques Nord, du Centre, du Rif, de l’Atlas et du Nord de l’Oriental devront se préparer à des averses parfois modérées, accompagnées de coups de tonnerre. Les sommets de l’Atlas pourraient même être saupoudrés de neige, tandis que des rafales de vent souffleront avec intensité sur certaines zones de l’Oriental et du Sud-Est du pays. Une véritable entrée en matière pour cette dépression atmosphérique qui s’annonce.
Mais ce n’est que le début. Les prévisions pour mardi ne laissent présager aucun répit. La dépression prendra de l’ampleur, apportant avec elle des averses orageuses plus soutenues, en particulier sur le Nord et l’Est du pays, ainsi que sur les reliefs de l’Atlas et du Rif. Les habitants des zones montagneuses devront également se préparer à un manteau neigeux, avec des chutes attendues sur le Haut et Moyen Atlas ainsi que sur le Rif. Les rafales de vent demeureront un facteur à surveiller, tout comme la baisse des températures qui s’accentuera.
La situation ne semble pas s’améliorer pour mercredi. Bien que les pluies pourraient se faire plus discrètes sur le Nord-Ouest, de nouvelles précipitations sont déjà prévues à partir de vendredi, laissant présager une semaine sous le signe de l’instabilité météorologique.
Face à ces conditions météorologiques agitées, il est recommandé à la population de rester vigilante et de se tenir informée des éventuelles mises à jour des prévisions émises par les autorités compétentes. En attendant, il semblerait que le printemps tarde à s’installer définitivement sur le Royaume. Pour les agriculteurs, une préparation est requise pour éviter les dégâts sur les cultures.
La sécheresse au Maroc impacte gravement les stocks d’eau en nappe. Les barrages sont à un quart de leur capacité, les nappes phréatiques surexploitées voient leur niveau baisser. Le pays subit une sixième année consécutive de sécheresse, avec des précipitations bien en deçà des niveaux normaux.
j’aimerai republier l’article sur mon blog